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Dès son plus jeune âge, et même dans ses vies antérieures, la personne victime de la blessure de trahison s’est sentie trahie, déçue, trompée. Cela a à nouveau été éveillé par son parent du sexe opposé.
Quel est le comportement de la personne qui souffre de la blessure de trahison ?
La blessure de trahison correspond au masque du contrôlant, mais il existe une subtilité. Le contrôlant peut être un contrôlant sournois ou un contrôlant agressif.
Quand il porte son masque, le contrôlant sournois se plaint en blâmant l’autre et en voulant le contrôler subtilement. Le contrôlant agressif quant à lui s’impatiente et se met en colère en voulant contrôler l’autre avec sa force.
Tout cela à cause de sa colère envers le sexe opposée. Celle-ci est refoulée chez le contrôlant sournois mais au contraire manifestée chez le contrôlant agressif.
Il manque de reconnaissance et d’importance, ce qu’il va chercher dans les yeux des autres. Il a peur de la séparation et du reniement. En réalité il se sent trahi, mais il se trahi également lui-même, tout comme il trahi autrui. Il a peur du reniement mais sera le premier à renier quiconque le trahit, selon lui.
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Comment reconnaitre quelqu’un qui a la blessure de trahison ?
Le contrôlant est hypersensible et hyper-attentif.
Souvent, il est autoritaire et exigeant, il parait fort et est souvent dans la posture du dirigeant car il ne supporte pas de dépendre d’autrui.
De prime abord, il est difficile de s’apercevoir qu’elle est une personne très manipulatrice car son naturel très séducteur l’aide à bien cacher bien son jeu. Malheureusement, à trop vouloir se sentir supérieur, il complique grandement ses relations sociales. Pourtant, ce n’est que la partie blessée qui s’exprime, et cette intolérance poussera les autres à le trahir, ce qui est pourtant ce qu’il veut éviter.
Ces personnes se remarquent facilement car elles ont un gros égo et ont l’air de crier « regardez-moi » dès qu’elles rentrent dans une pièce. Elles ont besoins d’avoir bonne réputation. Pourtant dans leurs actes, elles peuvent être violentes avec les autres, par exemple si les autres ne vont pas assez vite. Elles sont intolérantes et ont besoin de tout connaitre à l’avance pour contrôler.
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En réalité, le contrôlant a besoin d’asseoir sa supériorité et peut devenir facilement agressif. On remarquera souvent chez lui une humeur en dents de scie. Il a des difficultés à accorder sa confiance et est intolérant face à l’incontrôlable. Il a toujours besoin d’avoir le dernier mot.
Comme il n’en est pas à sa première incohérence, il a horreur du mensonge et de la tricherie, mais il en fera usage lui-même très régulièrement, parfois même sans s’en rendre compte.
Pour commencer, le contrôlant doit considérer les autres et apprendre qu’il n’est en rien supérieur aux autres. Il n’est pas surhumain. Sa vulnérabilité peut en fait être sa force et il doit la voir et l’accepter. Être vulnérable ne signifie pas être faible et ne justifiera pas que les autres le trahissent plus que ce qu’ils font déjà.
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